Manifestation nationale à Bruxelles : une mobilisation historique
Plus de 100 000 travailleurs dans les rues, un message fort envoyé au gouvernement
Hier, Bruxelles a été le théâtre d’une mobilisation d’ampleur exceptionnelle. Plus de 100 000 travailleurs et travailleuses ont répondu à l’appel des organisations syndicales pour faire entendre leur colère et leur détermination. Contrairement aux chiffres avancés par certains médias – qui parlent de 60 000 participants – la réalité sur le terrain témoigne d’une mobilisation massive, inédite, et profondément ancrée dans les préoccupations sociales actuelles.
Cette journée marque une première victoire symbolique pour les syndicats. Elle démontre que, malgré les tentatives de minimisation et de division, la solidarité entre les travailleurs reste vivace et puissante.
Une réponse collective à une politique jugée injuste
Les manifestants dénoncent une série de mesures gouvernementales perçues comme une véritable déclaration de guerre sociale : attaques contre les droits sociaux, gel des salaires, pression croissante sur les conditions de travail... Les revendications portées dans les rues hier dépassent les clivages habituels : il s'agit de défendre la dignité du travail, le respect des travailleurs et la justice sociale.
Un marathon de résistance est lancé
Cette mobilisation n’est que le début d’un mouvement plus large. Les syndicats annoncent d’ores et déjà la suite : une grève générale prévue le 31 mars. L’objectif ? Maintenir la pression, élargir la mobilisation, et forcer le gouvernement à revoir ses positions.
Les manifestants d’hier ont envoyé un message clair : la voix des travailleurs ne peut être ignorée. Ce n’est plus seulement un appel à la négociation, c’est un avertissement collectif : si les lignes ne bougent pas, la rue continuera à parler – plus fort, plus nombreuses, plus déterminée.
Restons mobilisés
La mobilisation d’hier n’était pas un point final, mais un point de départ. Il est essentiel de rester soudés, de continuer à informer, à organiser, à résister. Car c’est dans l’unité que se forge la force des mouvements sociaux. Le 31 mars, une nouvelle page de cette lutte s’écrira.
Ne laissons pas notre avenir se décider sans nous. La lutte continue.